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Equipe

Institut d'Histoire de la Révolution Française (IHRF)

 

IHRF-IHMC
(UMR8066, CNRS/ENS/Paris 1)

 

Fondé en 1937 à l’initiative de Georges Lefebvre, l’Institut d'Histoire de la Révolution Française est rattaché à l’UFR d’Histoire (09) de l’Université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne.
Présentation complète

 

17, rue de la Sorbonne

Esc. C, 3e étage

75005 Paris

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Chargé de communication

Opens window for sending emailAlexis Darbon

 

Bibliothèque

La bibliothèque ouvrira à partir du 1er septembre, sur RdV uniquement.

Lundi et mardi : 14 h – 17 h 30
Mercredi : 9 h 30 – 13 h | 14 h – 17 h 30
Jeudi : 9 h 30 – 13 h
Vendredi : 9 h 30 – 13 h | 14 h – 16 h
 

Thomas Corpet

Tél. : 01 40 46 33 70

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Jeanne-Laure LE QUANG

Jeanne-Laure LE QUANG

 

Statut : Doctorante
Année d’inscription en doctorat : 2012
Laboratoire IHRF/ IHMC
Directeurs de recherche : Pierre Serna (Paris 1)

 

Intitulé de la thèse : Haute police et contrôle social sous le Consulat et le premier Empire (1799-1815).

 

Résumé : Au terme de dix ans de Révolution, le Consulat puis l’Empire instaurent en France un régime d’ordre. On a souvent évoqué la légende noire de Napoléon, en invoquant l’arbitraire avec lequel s’opérerait la mise au pas tous ceux qui ont une opinion contraire au régime. L’étude se propose d’interroger la réalité derrière la légende, à travers l’étude d’un rouage central du contrôle social instauré par le régime napoléonien : la haute police, ou police politique. L’interrogation est la suivante : comment ce régime particulier, fort voire autoritaire, appréhende-t-il et soumet-il l’opposition politique pour tenter de s’inscrire dans la durée ? Dans ce contexte, la haute police joue un rôle central de maintien de l’ordre, d’agent du pouvoir politique, et de perpétuation de celui-ci. Le rapport qu’entretient la haute police au pouvoir napoléonien, est ainsi central. Il s’agit donc d’étudier la mise en place d’un système policier, à la fois répressif et préventif, neuf par son amplitude, au service d’un pouvoir politique fort. Il s’agit enfin de voir en quoi ce contrôle social modèle la société : la police appréhende la société en forgeant, des catégories sociales à partir desquelles elle élabore son action. Mais quelle influence réelle ces catégories mentales policières ont-elles sur la société impériale ?



Champs de recherche : France (XVIIIe-XIXe), Histoire politique, Histoire sociale, Histoire urbaine, Histoire des représentations.




Publications

2015 : « La justice face aux mesures de haute police sous le Consulat et l’Empire. De la violation de l’indépendance du pouvoir judiciaire à la collaboration entre pouvoirs », avec Emmanuel Berger dans Marco Cicchini, Vincent Denis, Vincent Milliot et Michel Porret (dir.), Police et justice : le nœud gordien. Du temps des Lumières à l’État libéral (1750-1850).

 

2015 : Compte-rendu de lecture : Emmanuel de WARESQUIEL, Fouché, les silences de la pieuvre, Paris, Tallandier, Fayard, 2014, dans La Révolution française, 2015/2, n°9.




Journées d'études, colloques

 

Interventions

2015 : « La base de données historique appliquée à l’histoire de la police et du contrôle social sous le Consulat et l’Empire (1799-1815). De l’étude des pratiques policières à l’histoire des représentations. »
Atelier doctoral interdisciplinaire : La Méditerranée : un laboratoire de l’histoire globale et des processus de globalisation. Les nouvelles approches quantitatives en histoire et en sciences sociales, coorganisé par l'École française de Rome et l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, 6-9 octobre 2015, École française de Rome.

 

2015 : « La haute police durant le Premier Empire ». Journées doctorales Réseaux politiques et culturels européens sous la Révolution et l’Empire, coorganisé par les universités de Warwick, Clermont-Ferrand et Paris 1, 30 mars-1er avril 2015, Université de Clermont-Ferrand.

 

2015 : « De l’ennemi extérieur au suspect intérieur : l’action de la haute police impériale vis-à-vis de l’étranger dans un contexte de guerre permanente, 1799-1815. »
Séminaire de recherche Guerre et altérité à l’époque moderne (1453-1815), coordonné par Emilie Dosquet et Arnaud Guinier, 5 mars 2015, Ecole Normale Supérieure, Paris.

 

2014 : « Quand la police s’affranchit de la justice : la haute police impériale (1799-1815) », communication dans le cadre du colloque international Police et justice : le nœud gordien. Du temps des Lumières à l’État libéral (1750-1850) organisé à l’Université de Genève par Damocles, Syspoe et IHACCJ, les 20-22 novembre 2014.

2014 : « Quand les citoyens se font rappel de la loi : la Commission sénatoriale des libertés individuelles et la haute police impériale (1804-1815) », communication dans le cadre de la journée d’études doctorale Appliquer la loi : acteurs, modalités et limites de l'exécution de la loi (1789-1815), organisé par l’IHRF (UMS 622 CNRS - Paris 1) et l’IhRIS (Lille III) à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne le 5 décembre 2014.

 

Organisation

2016 : Organisation de la journée d’études de l’École Doctorale d’Histoire, Le contrôle social, Université de Paris 1, Paris.

 

2015 : Organisation de la journée d’études Le pouvoir exécutif et la loi : réceptions, réinterprétations, réécritures (1789-1804), deuxième volet de la thématique Appliquer la loi (1789-1815),coorganisé par l’IHRF (UMS 622 CNRS - Paris 1) et l’IhRIS (Lille III),  à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne  le 4 décembre 2015 à l'Université Lille III.

 

2014 : Organisation de la journée d’études doctorale Appliquer la loi : acteurs, modalités et limites de l'exécution de la loi (1789-1815), coorganisé par l’IHRF (UMS 622 CNRS - Paris 1) et l’IhRIS (Lille III),  à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne le 5 décembre 2014.